Suite au stage sur le genre et l’éducation à la vie affective et sexuelle du 18 et 19 mars 2024 au local, nous accueillons des nouveaux ouvrages dédiés ! Emprunts gratuits dans notre bibliothèque syndicale au 5 rue de Lorraine (Rennes).
La CAPD se réunit pour gérer les divers recours (lorsque ceux-ci ne sont pas déjà accordés par le DASEN) : de rendez-vous de carrière, sur le mouvement, les départ en stage de formation ou sur les demandes de temps partiels.
Notre liste commune avec la CGT pendant les élections professionnelles nous a permis d’avoir un siège en CAPD dans le 35.
Par notre présence et les questions que nous portons auprès de la DSDEN, nos présentant·es ont également su imposer des sujets qui ne sont plus à l’ordre du jour de la CAPD.
Sur l’affectation des TRS : l’administration vise des affectations à la mi-juillet si possible pour 2024. Certains changements de dernière minute ne pourrons peut-être pas être anticipés (Ouverture de la liste complémentaire, départ en retraite retardé, acceptation des temps partiel thérapeutiques…)
RDV de carrière : retour sur la nécessité d’une plus grande adéquation entre les appréciations finales et les items (parfois, il y a des écarts entre la moyenne des notes ex : très satisfaisant » et l’appréciation finale « satisfaisant »). Le DASEN est d’accord sur le principe, il explique que certains items valent plus que d’autres. Une réunion d’information pour les personnes éligibles sera proposée normalement à la rentrée 2024 pour expliquer la méthode d’évaluation en RDV de carrière. Les écarts entre 1er et 2nd degré s’amoindrissent mais existaient encore en 2023. L’administration vise une suppression de cet écart pour 2024.
Mouvement : sur la bonification de 800 points pour raison médicale : si deux enseignant.es sont à égalité de points dans un établissement, l’administration prend en compte si l’un·e d’entre eux·elles bénéficie d’une bonification pour raison médicale ainsi que la motivation des enseignant·es. Elle ne prévient pas forcément les collègues qu’un·e collègue bénéficie d’une bonification pour raison médicale, pour des raisons de respect de la confidentialité sur la santé médicale des collègues concerné·es.
Vacances d’été : la DSDEN fermera 15 jours cet été. Fermeture le 26 juillet. Réouverture le 12 août au matin. Fermée également le 15 et 16 août.
Demandes de temps partiels 2024 : pas d’info de la part de l’administration sur les chances d’acceptation des demandes sur autorisation. Les demandes de temps partiels annualisés seront envisagées mais le DASEN ne garantit pas leur acceptation – cela dépend des manques de postes et des binômes qui seront proposés. Plus on a des demandes pensées comme se complétant (1 demande de septembre à janvier couplée à 1 demande de janvier à juillet dans la même zone / même établissement), plus il y a de chance qu’elles soient acceptées.
Sur le manque de remplacement : une mobilisation de la Brigade de formation continue a été faite cet hiver et 5 contractuel·les recruté·es également pour combler le manque de remplaçant·es. La situation est toujours tendue.
Formulaire formation bilingue : la formation peut se faire dans un département extérieur à ceux du 35. L’engagement à enseigner 3 ans en breton doit se faire dans le département.
Une mobilisation importante dans l’éducation nationale est en cours pour la défense de l’école publique, contre le « choc des savoirs », le manque de moyens et toutes les mesures et réformes qui détruisent notre service public : bac Blanquer, Parcoursup, réforme de la voie professionnelle, SNU, l’uniforme à l’école…
SUD Education 35 soutient toutes les actions qui sont menées actuellement dans le département.
Nous appelons à poursuivre la mobilisation par tous les moyens, y compris par la grève, dans sa reconduction.
Nous appelons également à la grève nationale du 2 avril (informations locales à venir) !
Préparons un mouvement massif et une grève reconductible à partir du 19 mars !
Le 19 mars à Rennes : Manifestation à 14h place Charles de Gaulle
AG éducation mardi 19 mars à 10h à la maison de quartier Villejean
Mercredi 20 mars : Rassemblement à 14h devant la DSDEN (1 quai Dujardin)
Le 19 mars est une journée de grève interprofessionnelle dans toute la fonction publique pour exiger une revalorisation salariale, des créations d’emploi et de meilleures conditions de travail. L’intersyndicale dénonce aussi le projet de rémunérations au « mérite » qui crée de nouvelles inégalités et va à l’encontre des statuts.
Les personnels de l’éducation et des universités doivent s’emparer de cette date du 19 mars pour poursuivre et accentuer la mobilisation dans notre secteur qui subit d’importantes coupes budgétaires mais aussi les assauts de politiques réactionnaires.
Sud éducation 35 appelle à une grève reconductible du 19 au 22 mars pour la défense de notre école publique et de nos conditions de travail et contre le Choc des savoirs.
Le 8 mars n’est pas la « journée de la femme » ni la « fête des femmes », c’est une journée de lutte pour le droit des femmes !
SUD éducation 35 appelle les personnels de l’éducation et des universités à se mettre en grève et à manifester le 8 mars prochain.
Manifestations : Rennes : 15h esplanade Charles de Gaulle ***village féministe dès 13h*** Redon : 10h devant la mairie Saint-Malo : 17h esplanade Simone Veil Fougères : 18h pl. des Chaussonières
En 2024, l’égalité et les droits des femmes sont loin d’être effectifs ; ils sont même de plus en plus menacés.
Des menaces toujours plus importantes
Les nouvelles révélations de violences sexuelles et la défense des agresseurs par une partie du monde médiatique et politique (à commencer par le président de la république) montrent la nécessité de se mobiliser auprès des victimes encore et toujours. De même, le refus de la France d’inscrire le consentement dans la définition européenne du viol et les annonces du président qui souhaite « un réarmement démographique », passant par un contrôle des corps et des utérus à des fins natalistes, montrent que les droits des femmes et des minorités de genre sont perpétuellement remis en question. Il reste encore beaucoup à gagner face au patriarcat.
Le congé menstruel : un droit à conquérir !
Avec un taux de féminisation de plus de 70 %, il est grand temps pour le ministère de l’Éducation Nationale, mais aussi pour l’Enseignement Supérieur, de prendre des mesures concrètes. L’invisibilisation au travail des douleurs menstruelles et de l’endométriose conduit à la normalisation des douleurs, à nous rendre silencieuses face à la douleur et à perpétuer le tabou des règles. Les douleurs menstruelles sont minimisées, invisibilisées ou considérées comme normales. Pourtant, elles pèsent sur la rémunération des personnes menstruées qui subissent le jour de carence lorsque la douleur les empêche d’aller travailler.
SUD éducation revendique le droit à prendre un congé menstruel sous la forme d’ASA , sans jour de carence, sans justificatif à fournir à l’administration, la reconnaissance de l’endométriose comme affection longue durée , la mise à disposition d’une salle de détente et des pauses adaptées aux besoins des personnes qui ont leurs règles, la mise à disposition de protections périodiques dans tous les établissements, un recrutement massif de médecins du travail, formé·es en santé au travail ; le bénéfice de la visite médicale annuelle pour l’ensemble des personnels.
Mais attention, aux potentielles discriminations : le congé menstruel ne doit pas devenir, par un effet pervers, un frein à la carrière des femmes. Levons le tabou des règles pour améliorer les conditions de travail de tou·tes !
En grève à 90 % aujourd’hui, les grévistes du collège ont rencontré le DASEN dans la matinée.
Il a fait un certain nombre de promesses : remplaçant dès lundi pour la collègue de lettres en charge du dispositif EFIV, transformation du dispositif l’an prochain avec action sur le nombre d’élèves, le nombre d’heures ou le poste lui-même, moyens supplémentaires pour la vie scolaire et le pôle médico-social, appui de l’IA pour le passage en REP en 2025 (si la carte de l’éducation prioritaire est effectivement revue), travail conjoint avec le conseil départemental pour améliorer la sectorisation, octroi d’heures de concertation et de HSE supplémentaires pour l’inclusion…) …
Comme quoi la grève quand elle est massive peut avoir une certaine efficacité !
L’équipe a donc décidé de suspendre la grève aujourd’hui. Elle reste mobilisée et prête à reprendre le mouvement si ces promesses ne débouchaient sur rien de concret.
Elle a aussi créé une cagnotte de soutien aux grévistes (en particulier les précaires, AED et AESH). N’hésitez pas à contribuer si vous le pouvez !
Nous organisons une journée de stage de formation syndicale Genre à l’école, qui aura lieu le lundi 18 et mardi 19 mars 2024 dans nos locaux au 5 rue de Lorraine à Rennes (métro Villejean). Cette formation est ouverte à tous les personnels, syndiqués ou non, de l’éducation nationale et de l’enseignement supérieur. Ce stage abordera les problématiques suivantes : – Langue française et oppressions : questionner le genre dans la langue – Stéréotypes de genre : partage d’expérience et échange de pratiques pour sensibiliser les élèves – Défendre et faire de l’Éducation à la Vie affective et sexuelle : ateliers + intervention du Planning Familial
Pour rappel : Chacun a droit à 12 jours de stages par an. La participation à un stage de formation syndicale sur temps de travail est un droit que SUD éducation incite à faire vivre.
Vous venez de loin ? Dorénavant, il est possible pour les adhérent.es de se faire rembourser son trajet (train, voiture, ou autre) pour venir au stage. Il suffira d’envoyer votre ticket de transport ou votre itinéraire Mappy à syndicat@sudeducation35.fr (préciser dans l’objet du mail : Pour le trésorier) à la suite de votre stage.
Le mercredi 3 avril 2024 à L’Union Locale Solidaires 35 au 5 rue de Lorraine.
La formation Militer syndicalement en vie scolaire est une formation pratique qui vise à donner les bases de la pratiques syndicale aux AED qui souhaitent s’organiser avec leurs collègues : déposer une heure d’infos syndicale, demander une Autorisation Spéciale d’Absence, organiser une grève, etc.
Le lendemain SUD éducation 35 organise la formation Découvrir et militer à SUD éducation 35 qui est un excellent complément à cette journée. N’hésitez pas à vous inscrire aux deux journées en même temps !
Pour rappel : Chacun a droit à 12 jours de stages par an.
Programme à venir
Vous venez de loin ? Dorénavant, il est possible de se faire rembourser son trajet (train, voiture, ou autre) pour venir au stage. Il suffira d’envoyer votre ticket de transport ou votre itinéraire Mappy à syndicat@sudeducation35.fr (préciser dans l’objet du mail : Pour le trésorier) à la suite de votre stage.
Nous étions plus de 2000 dans la rue le 14 janvier, plus de 4000 le 21 janvier ; la loi ne sera probablement pas retirée dans son intégralité après la décision de ce soir.
La lutte continue !
Un concert de solidarité a lieu samedi 27 janvier à partir de 18h30 au 4bis est aussi prévu avec une table sur la loi immigration et une sur l’ICE.
Par ailleurs cette initiative citoyenne européenne pour « un accueil digne des migrant-e-s » peut être signée ici : https://dignity-in-europe.com/
Une manifestation contre le racisme, le colonialisme et les frontières (dont le mot d’ordre exact reste à construire) est prévue le 3 février à 14h30 et qui réunira la lutte contre la loi immigration et celle pour la paix en Palestine.
Il y aura aussi le même jour, une commémor‘action à 17h place Sainte-Anne pour les mort-e-s en Méditerranée et aux frontières organisée par Alarm Phone et le CSPSP.
SUD éducation 35 organise une Réunion d’Information Syndicale (RIS) sur le thème de l’inclusion le mardi 23 janvier à 17h30 à l’école maternelle Oscar Leroux. N’hésitez pas à imprimer et à afficher l’info dans vos salles des maîtres et maîtresses et à en parler autour de vous.
Nous relayons un appel national à manifester le dimanche 14 janvier contre la loi immigration (puis une nouvelle date le 21 janvier). A Rennes, ce sera à 15h à République.
Pour nos salaires, pour plus de moyens pour l’inclusion, contre les suppressions de postes, contre la mise en place des réformes à marche forcée, nos organisations syndicales FSU, FNEC FP – FO, CGT Educ’Action, SUD éducation appellent à une action de grèves et des manifestations le 1er février 2024.
Manifestation jeudi 1er février à 11h place de la République
La crise de recrutement dans l’éducation se pérennise, et toutes les études montrent que la faiblesse des salaires est le premier obstacle à l’attractivité des métiers de l’éducation. Nos organisations exigent de véritables augmentations salariales en particulier par une augmentation significative du point d’indice pour tous les personnels dans ce contexte de forte inflation, ainsi que l’abandon du pacte. Au lieu de poursuivre la dynamique à peine enclenchée avec les mesures mises en œuvre en 2023, le ministre refuse désormais de discuter de nouvelles mesures générales pourtant nécessaires et envisage même une nouvelle transformation des carrières marquée par un poids croissant des hiérarchies.
Enfin, de nombreux signes confirment l’échec du Pacte. Les personnels ont bien compris qu’il ne s’agissait pas d’une revalorisation. La mise en œuvre du Pacte a également profondément divisé les équipes, d’autant plus que qu’il a donné lieu à des pressions ou interprétations contraires aux textes réglementaires dans le seul but de faire du chiffre et de sauver le Pacte. Par ailleurs, le ministre s’entête à refuser les mesures salariales d’urgence qui permettraient de sortir les AESH et les AED de la précarité.
Il est encore temps de renoncer aux suppressions de postes pour permettre notamment d’alléger les effectifs par classe mais aussi d’assurer les remplacements. Il faudrait également recruter davantage de personnels dans l’ensemble des équipes pluriprofessionnelles … La dégradation des conditions de travail, la perte du sens du métier doivent être pris au sérieux. La formation continue saccagée, l’inclusion sans moyens, les effectifs nombreux dans les classes, etc. : tout cela contribue à dégrader encore davantage les conditions de travail.
Sur la question de l’inclusion, tous les voyants sont au rouge et les personnels enseignants et AESH sont à un point de rupture. C’est pourquoi nos organisations revendiquent : • La défense de l’enseignement spécialisé et adapté, le maintien et la création des places nécessaires dans les établissements sociaux et médico-sociaux. • Un statut de fonctionnaire et un vrai salaire pour les AESH, des recrutements d’AESH et de moyens humains à hauteur des besoins. • L’abandon des mesures prises dans le cadre de l’acte 2 de l’Ecole inclusive (statut d’emploi d’ARE fusionnant les AESH et les AED, mise en place des pôles d’appui à la scolarité permettant à l’Education nationale de mettre la main sur les notifications MDPH) et l’ouverture de discussions avec les organisations syndicales sur la base des revendications des personnels.
Le projet de réforme du lycée professionnel est emblématique du moins d’école, moins d’enseignant·es, plus d’entreprises, plus d’externalisation des missions, et plus de management ! Cette réforme est à rebours des enjeux éducatifs, elle engage des bouleversements majeurs qui auront aussi un impact lourd sur les conditions de travail de l’ensemble des personnels exerçant en lycées professionnels et sur les conditions d’apprentissage des élèves.
Nos organisations en exigent le retrait ! Elles demandent au ministre de renoncer à présenter ce projet et à engager de véritables concertations au sein du ministère de l’Education nationale sur la base d’un diagnostic rigoureux à partager sur l’état de l’enseignement professionnel tant pour les élèves que pour les conditions de travail des personnels avant toute réforme.
Plus globalement, les mesures “Choc des savoirs” annoncées par le Ministre dessinent un projet d’école qui revient sur l’objectif de démocratisation et aggrave les inégalités. Elles vont encore dans le sens d’un contrôle accru du travail enseignant (manuel unique, méthodes imposées, évaluations standardisées) contre la liberté pédagogique.
Pour toutes ces raisons, les organisations FSU, FNEC FP – FO, CGT Educ’action et Sud éducation appellent à se mobiliser par des actions diversifiées dès maintenant et à préparer une journée de grève et de manifestations le 1er février.
Pour les enseignant·es exerçant dans le 1er degré, le droit de grève est soumis à une déclaration préalable. SUD éducation 35 dénonce cette atteinte au droit de grève et appelle les collègues à déposer leur « déclaration individuelle d’intention de participer à une grève » pour tous les jours de la période, celle-ci n’obligeant pas la participation effective à la grève.
SUD éducation propose cependant un modèle de déclaration d’intention de grève aux enseignant-e-s qui souhaitent l’envoyer à leur IEN. Vous trouverez ci-dessous un modèle de déclaration individuelle d’intention de participation à la grève pour toute une période.
Cela a l’avantage de pouvoir être gréviste dès qu’on le souhaite sans se soucier du délai des 48h de prévenance. Et également de mettre en difficulté l’administration tout en la mettant en contradiction par rapport à ce système de déclaration inique qui a été mis en place par Sarkozy. Cette déclaration peut être proposée dans les intersyndicales.
Période 3 :Modèle de déclaration individuelle d’intention de grève Académie de Rennes de janvier à février 2024 : version .doc – Version PDF
L’intersyndicale voie pro CGT Éduc’action35, SNUEP-FSU35, SNEP-FSU35, FNEC FP FO 35, Sud Education35 appelle tous les personnels à se mettre en grève et réussir une mobilisation d’ampleur le mardi 12 décembre pour exiger le retrait de cette réforme des lycées pros. Il est nécessaire de se préparer à une mobilisation de grande ampleur pour contrer cette réforme !
Le 12 décembre 2023, montrons notre détermination, fermons les LP ! Toutes et tous en grève et dans la rue ! Rassemblement devant la DSDEN à 11h avec cortège jusqu’au Rectorat, audience intersyndical au Rectorat à 13h.
SUD Éducation 35 organise un stage de formation syndicale sur les conditions de travail les lundi 22 et mardi 23 janvier2024 au 5 rue de Lorraine à Rennes.
Ce stage sera l’occasion de (re)découvrir et de s’emparer des outils pour défendre et améliorer collectivement nos conditions de travail, qui se dégradent très fortement ces dernières années…
S’inscrire
1 – envoyer une demande écrite à votre hiérarchie avant le lundi 22 décembre 2023.
1er degré Adresser une demande écrite à l’IA-DASEN sous couvert de l’IEN, selon le modèle ci-dessous au moins un mois avant la date du stage, accompagné de l’annexe 4 ci-dessous :
Face à l’urgence environnementale : pratiques pédagogiques et intervention syndicale
Nous organisons une journée de stage de formation syndicale Écologie, qui aura lieu le lundi 15 et mardi 16 avril 2024 dans nos locaux au 5 rue de Lorraine à Rennes (métro Villejean). Cette formation est ouverte à tous les personnels, syndiqués ou non, de l’éducation nationale et de l’enseignement supérieur.
Pour rappel : Chacun a droit à 12 jours de stages par an. La participation à un stage de formation syndicale sur temps de travail est un droit que SUD éducation incite à faire vivre.
Vous venez de loin ? Dorénavant, il est possible pour les adhérent.es de se faire rembourser son trajet (train, voiture, ou autre) pour venir au stage. Il suffira d’envoyer votre ticket de transport ou votre itinéraire Mappy à syndicat@sudeducation35.fr (préciser dans l’objet du mail : Pour le trésorier) à la suite de votre stage.
Nous organisons une journée de stage de formation syndicale Pédagogies émancipatrices, qui aura lieu le jeudi 1er et vendredi 2 février 2024 dans nos locaux au 5 rue de Lorraine à Rennes (métro Villejean). Cette formation est ouverte à tous les personnels, syndiqués ou non, de l’éducation nationale et de l’enseignement supérieur, qui souhaitent découvrir les principaux différents courants pédagogiques émancipateurs.
Pour rappel : Chacun a droit à 12 jours de stages par an. La participation à un stage de formation syndicale sur temps de travail est un droit que SUD éducation incite à faire vivre.
Vous venez de loin ? Dorénavant, il est possible pour les adhérent.es de se faire rembourser son trajet (train, voiture, ou autre) pour venir au stage. Il suffira d’envoyer votre ticket de transport ou votre itinéraire Mappy à syndicat@sudeducation35.fr (préciser dans l’objet du mail : Pour le trésorier) à la suite de votre stage.