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Pour les organisations syndicales, il est grand temps que des mesures fortes soient prises pour enfin revaloriser le métier d’AESH, un métier devenu indispensable. C’est pourquoi ils demandent « des mesures fortes qui bénéficieraient à la fois aux personnels concernés, aux élèves accompagnés et à l’ensemble de l’école », et notamment :
• Une revalorisation immédiate des salaires ;
• Le versement de l’indemnité REP-REP+ pour les AESH exerçant en éducation prioritaire ;
• La création d’un véritable statut ;
• Des emplois stables, pérennes et reconnus ;
• La création du nombre d’emplois nécessaire pour couvrir tous les besoins ;
• Le droit de pouvoir travailler à temps complet ;
• Une formation professionnelle de qualité sur le temps de travail.
MOBILISATION UNITAIRE MERCREDI 6 FÉVRIER !
14h30 : Rassemblement devant la DSDEN (quai Dujardin, Rennes)
16h : AG dans les locaux de la FSU (rue Papu, Rennes)
17h30 : Conférence de presse
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1er DEGRE
Source: New feed
Pour les organisations syndicales, il est grand temps que des mesures fortes soient prises pour enfin revaloriser le métier d’AESH, un métier devenu indispensable. C’est pourquoi ils demandent « des mesures fortes qui bénéficieraient à la fois aux personnels concernés, aux élèves accompagnés et à l’ensemble de l’école », et notamment :
• Une revalorisation immédiate des salaires ;
• Le versement de l’indemnité REP-REP+ pour les AESH exerçant en éducation prioritaire ;
• La création d’un véritable statut ;
• Des emplois stables, pérennes et reconnus ;
• La création du nombre d’emplois nécessaire pour couvrir tous les besoins ;
• Le droit de pouvoir travailler à temps complet ;
• Une formation professionnelle de qualité sur le temps de travail.
MOBILISATION UNITAIRE MERCREDI 6 FÉVRIER !
14h30 : Rassemblement devant la DSDEN (quai Dujardin, Rennes)
16h : AG dans les locaux de la FSU (rue Papu, Rennes)
17h30 : Conférence de presse
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Réunis en Intersyndicale, SUD Education 35, CGT Educ’Action 35, Snudi-FO 35, SNUipp-FSU 35, SGEN CFDT 35 et SE UNSA 35 demandent l’abandon des évaluations nationales
Suite aux réunions d’information syndicale qui se sont tenues du 14 au 17 janvier, plusieurs écoles du département ont décidé de ne pas faire passer et/ou remonter les évaluations CP de janvier 2019.
Ces évaluations ne peuvent servir d’aides ni aux élèves ni aux enseignants.
Les organisations syndicales SNUipp-FSU35 – SUD éducation35 – Snudi-FO35 – CGT Educ’action35 – SGEN CFDT35 – SE Unsa 35 s’engagent à centraliser les prises de position des collègues et des équipes afin d’obtenir l’abandon du protocole d’évaluation CP. Elles invitent les personnels et les équipes à se saisir de la motion jointe et à l’envoyer à leur IEN. (avec copie aux organisations syndicales) Elles invitent également les collègues qui ont décidé de ‘engager individuellement à les contacter.
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SUD éducation 35, la CGT éduc’action 35 et le Snudi-FO 35, réuni en intersyndicale, se sont mis d’accord sur le communiqué commun suivant.
Quatre Réunions d’informations Syndicales commune seront organisées dès la rentrée de janvier pour informer les collègues sur l’école du socle et organiser la résistance aux évaluations nationales.
Les évaluations CP-CE1 de septembre 2018 ont confirmé ce que nos organisations syndicales avaient dénoncé dès le début :
Pour toutes ces raisons, et considérant que ces évaluations n’ont pas de caractère obligatoire, nos organisations syndicales appellent l’ensemble des équipes enseignantes à refuser collectivement de faire passer la deuxième session de ces évaluations début 2019.
Cette attaque contre notre liberté pédagogique s’inscrit dans le cadre de « l’école du socle » qui se met progressivement en place :
Nous refusons ce modèle libéral organisant la mise en concurrence des écoles et des enseignants.
L’école n’est pas une entreprise !
Pour s’informer sur l’école du socle et organiser le boycott des évaluations, SNUDI-FO 35, CGT Éduc’Action 35 et SUD Éducation 35 vous proposent de participer à des Réunions d’Informations Syndicales :
Mardi 15 janvier 2019 à 17h : École Trégain (Rennes)
Mardi 15 janvier 2019 à 17h : École Lucie Aubrac (St Domineuc)
Mercredi 16 janvier 2019 à 14h : École Jacques Prévert (St Gilles)
Jeudi 17 janvier 2019 à 17h : École Jacques Prévert (Rennes)…
À Rennes, le 19 décembre 2018
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Retrouvez les 4 pages, brochure, affichette, visuels, vidéo de la fédération SUD éducation sur :
https://www.sudeducation.org/La-ref…
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Communiqué de la fédération SUD éducation
La fédération Sud éducation a été reçue par la DGSIP dans le cadre de rencontres bi-laterales le 6 décembre 2018 au sujet de la réforme du master MEEF.
Il s’est avéré comme prévu impossible d’échanger sur les problèmes de fond : évolution du statut des stagiaires, place du concours, articulation formation initiale et continue, évolution du mode de recrutement, évolution du statut des ESPE…
Le ministère a tenté de nous rassurer en déclarant que ces points n’étaient pas à l’ordre du jour car le cadre demeurait pour l’instant inchangé. Mais pour combien de temps ?
Il nous a été demandé notre avis sur les équilibres de la formation tels qu’ils sont définis dans le document de travail. Nous avons rappelé que ce cadre contraint ne permettait pas une mise à plat des difficultés que rencontre la formation des enseignant-e-s. Nous avons néanmoins souligné l’impossibilité d’une formation de qualité dans les conditions proposées.
Pour le master MEEF premier degré, l’augmentation de la part prise par les fondamentaux et par le stage se fera au détriment d’une formation disciplinaire et didactique polyvalente de qualité.
Nous avons rappelé que l’alternance dès la première année fragiliserait encore les étudiant-e-s qui ne peuvent se former efficacement dans une situation où ils et elles seront employé-e-s en M1 comme moyens d’enseignement et en L2 et L3 affecté-e-s à toutes sortes de tâches éducatives périphériques.
Nous avons également exprimé nos craintes relatives aux orientations idéologiques et politiques qui pèsent toujours plus sur les enseignant-e-s et qui compromettent la liberté pédagogique.
SUD éducation considère que ce projet s’inscrit dans le cadre d’une refonte de la formation des enseignant-e-s qui vise à remettre en cause le concours et au-delà, le statut de fonctionnaire SUD éducation, comme cela a été dit au ministère, revendique toujours un concours à Bac + 3 et deux années de formation, rémunérées, comme fonctionnaire stagiaire, avec entrée progressive dans le métier.
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En lutte ! Bulletin de mobilisation n°2 – jeudi 13 décembre
Toutes et tous en grève le 14 décembre !
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ELECTIONS 2018
Découvrez les bonnes raisons de voter SUD sur notre profession de foi.
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Tract de la fédération SUD éducation
Contre les suppressions de postes et la précarité, pour des embauches massives de fonctionnaires et la titularisation sans condition des personnels en contrats précaires ! Contre les réformes Blanquer, ni amendables, ni négociables !
Le rouleau-compresseur Blanquer essaie d’aplatir l’Éducation nationale. Les réformes s’accumulent et toutes s’inscrivent dans la continuité du projet à la fois libéral et réactionnaire que le ministre a pour l’école et ses personnels.
Le ministre présente un projet de loi qui :
→ permettra de financer toujours plus le privé, en étendant le financement à la charge des communes aux écoles maternelles privées ;
→ organise la reprise en main par le ministère de la formation des enseignant-e-s, qui seront amené-e-s durant leur formation à remplacer au pied levé les titulaires ;
→ prévoit des attaques contre le statut, notamment l’annualisation des services, par le biais d’expérimentations” imposées par la hiérarchie
→ permet au gouvernement de légiférer par ordonnance en matière éducative, notamment sur le découpage territorial
Le torpillage de l’éducation prioritaire et attaques contre les statuts des enseignant-e-s
Les signes sont clairs :
→ refus du ministre d’actualiser la carte de l’éducation prioritaire, pour mieux expliquer que le dispositif REP/REP+ est obsolète ;
→ Blanquer confie à P. Mathiot, à qui il avait confié un rapport qui s’est traduit par la réforme du lycée, un rapport sur l’éducation prioritaire ;
→ Un rapport de la cour des comptes vient à point nommé préconiser ce que le ministre s’apprête à mettre en application.
Le ministre prévoit :
→ le recrutement sur postes à profil dans les écoles et établissements, ce qui constitue encore une attaque contre les statuts des fonctionnaires.
→ l’instauration d’une prime au mérite,
→ à plus long terme, la fin du classement REP et REP+. Les écoles et établissements devront négocier des contrats établis sur la base d’indicateurs obscurs avec l’administration pour obtenir les moyens nécessaires à leur fonctionnement.
En somme, il s’agit de faire un sort à l’éducation prioritaire.
À cela s’ajoute le projet d’intercaler une hiérarchie intermédiaire à tous les échelons. Un rapport publié cet été préconise de faire des directeurs-trices des écoles des supérieur-e-s hiérarchiques des PE.
L’enseignement professionnel n’est pas épargné. L’injonction est toujours la même : faire mieux, avec moins. Les suppressions d’heures d’enseignement, et donc de postes dans toutes les matières, ainsi que de la taxe d’apprentissage videront les lycées professionnels de leur substance au profit de l’apprentissage. Le ministre avance ses pions pour préparer la destruction du lycée professionnel.
Le projet de Blanquer pour l’école, c’est celui de la concurrence des familles, des élèves, et établissements et des personnels entre elles et eux. Cela se traduira aussi dès 2019 par la mise en place d’un classement des établissements qui ne pourra qu’exacerber encore les tensions entre établissements.
Notre projet d’école est radicalement opposé à tout cela : nous luttons pour une école véritablement gratuite, laïque, émancipatrice.
Pour SUD éducation, une seule journée isolée ne permettra pas de gagner sur nos revendications. Pour nous, la journée de grève du 12 novembre doit être un point d’appui pour mettre en débat dans les assemblées générales la grève reconductible, seule à même de faire plier le gouvernement.
Pour SUD éducation, la mobilisation des personnels doit se faire dans le cadre unitaire le plus large. C’est donc dans le cadre d’une analyse partagée de la situation que SUD éducation appelle à la grève avec la CGT et FO.
Les revendications de SUD éducation
1 – Une baisse des effectifs par classe : 20 élèves maximum par classe, 16 en éducation prioritaire, 12 en SEGPA.
2 – Une baisse du temps de travail :
→ Un temps de service global pour l’ensemble des enseignant-e-s du 2nd degré de 14 h cours/élèves + 3 h de concertation/travail en équipes & 18 heures devant élèves + 6 heures de travail en équipe dans le premier degré
→ 1/9e de minoration de services pour tous les personnels de l’éducation prioritaire
3 – Une vie scolaire renforcée pour les élèves
→ 1 CPE pour 120 élèves dans les collèges ordinaires et 1 pour 100 en éducation prioritaire.
→ 1 personnel de vie scolaire pour 50 élèves en collège ordinaire et 2 pour 50 en éducation prioritaire.
4 – Des dispositifs d’aide et de prévention complets :
→ 1 RASED complet par groupe scolaire et 1 enseignant-e supplémentaire pour cinq classes (pour le 1er degré).
→ Un recrutement massif de personnels médico-sociaux (assistance sociale, infirmerie, psychologue)
5 – L’extension de la prime REP-REP+ à tous les personnels (AED, AESH…)
6 – La défense du statut de la fonction publique et la lutte contre la précarité, par l’abandon de CAP2022 la titularisation sans condition de tous les personnels
7 – L’abrogation de la loi ORE et de parcoursup, de la réforme du lycée et du baccalauréat, l’abandon de la réforme de la voie professionnelle et du projet de fusion des académies, le retrait du projet de loi Blanquer
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APPEL DU COLLECTIF CONTRE LA REFORME DU BAC ET DU LYCEE
NOUS VOUS INVITONS À NOUS REJOINDRE
LE MERCREDI 17 OCTOBRE À 13H30 AU LYCEE DE COMBOURG
Qui sommes-nous ?
Ce collectif a vocation à être celui de tous les professeurs du département opposés à la réforme, et celui des parents, personnels et syndicats qui souhaitent nous rejoindre pour stopper cette réforme. Il a été fondé par une vingtaine de professeurs du Lycée de Combourg.
Quelles sont nos revendications ?
Nous exigeons
Quels sont nos moyens ?
Le collectif a vocation à s’étendre au maximum de personnes, afin de diffuser l’information, et de mettre en place des actions : à nous d’en décider.
Comment s’y prendre ? Contacter les collègues, parents… organiser des réunions, inciter les collègues d’autres départements à créer des collectifs analogues, contre la réforme, et s’inscrire à ce collectif sur une mailing list.
Soyons nombreux pour l’avenir de notre système éducatif et de nos métiers : l’éducation est un droit pour tous.
Non à la réforme Blanquer et à la casse du Bac
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Depuis une vingtaine d’années, la casse systématique du service public d’éducation durcit nos conditions de travail dans les écoles. Parallèlement, nous constatons de plus en plus de demandes abusives de la part de l’administration.
Malheureusement, nous ne connaissons pas toujours nos droits et cela contribue à détériorer lourdement nos conditions de travail.
Alors, défendons nos droits !
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Compte-rendu de l’AG de Sud Éducation 35
du mercredi 12 septembre 2018
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Un document fédéral utile pour analyser la réforme des lycées généraux et technologiques.
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Au programme dans le journal d’Octobre de SUD Education 35 :
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